Les publicités ne cessent de vanter les mérites des produits laitiers notamment pour leur apport en calcium. Nous allons tenter de mettre en lumière certains de leurs aspects moins attirants :

1. L’homme est le seul être vivant qui à l’âge adulte consomme encore du lait alors que ce dernier est destiné à la croissance du bébé. Pour illustrer ce propos sur le plan physiologique, on peut signaler que la lactase, enzyme en charge de la dégradation du lactose, présente chez le nourrisson est absente chez plus de 75% des adultes.
2. Le lait de vache est destiné au veau. Autrement dit sa concentration en protides, lipides, glucides, hormones… est adaptée à faire croître un veau de 50 kg à la naissance à plus de 210 kg en moins de 6 mois.
3. Présence de caséine (qui représente 80% des protéines du lait) protéine à digestion lente, ayant pour conséquence entre autres une inflammation des muqueuses intestinales en agissant comme une colle difficile à éliminer surchargeant nos humeurs. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si c’est cette même caséine que l’on utilise pour coller les étiquettes sur les bouteilles en verre et plastique.
4. Forte présence de phosphates (6 fois plus que le lait maternelle) qui en excès diminuent l’absorption du calcium. Les phosphates entraînent une acidification de notre organisme avec comme conséquence une obligation pour le corps de rééquilibrer cette acidité en sacrifiant sur le long terme nos minéraux dont le calcium. (Cf travaux du Dr Kousmine)
5. Présence du Facteur de croissance IGF1 (insulin like growth factor) qui va stimuler chez l’homme la production d’hormone de croissance mais aussi la multiplication cellulaire des cellules saines et/ou cancéreuses.
6. Présence d’insuline bovine très similaire à la nôtre impliquant une réponse immunitaire avec un risque (par non différenciation) d’attaque de l’insuline endogène. La conséquence au long court est une destruction des cellules bêta du pancréas impliquant un diabète insulinodépendant.
7. Forte concentration en acides gras saturés ayant des conséquences néfastes (si consommés en excès) sur le système cardiovasculaire.
8. Forte concentration en pesticides et métaux lourds issus de l’alimentation bovine que l’on retrouve dans le lait, stockés dans les graisses, qui une fois dans l’organisme humain auront des effets délétères sur la santé,  notamment sur l’immunité et le système nerveux.
9. Présence dans le lait d’antibiotiques et d’hormones de synthèse injectés aux bovins, toujours actifs chez l’homme.
10. Sans oublier les conditions inhumaines d’élevage de bovins.